Un sujet d’actualité qui est évoqué aujourd’hui dans le monde culturel est celui de la relique.
La relique qui peut se définir au départ comme un objet vénéré ou sacré. Les religions dont la religion chrétienne ayant par la suite consacrées comme relique des restes d’une partie du corps humains de défunts, une telle pratique ayant été considérée à partir du XIX ème siècle comme illégale.
Le sujet d’actualité est celui touchant la Grèce et le Parthénon, temple des dieux grecs. En effet, après avoir remplacé quelques pierres usées du Parthénon, par des pierres neuves. L’objectif décoratif et archéologique serait à l’heure actuelle de redonner des couleurs aux fresques murales extérieures du temple.
Cet objectif interrogerait les spécialistes sur la question de la relique. C’est à dire de ne pas modifier un temple en altérant le caractère de la relique de celui-ci, plus précisement ne pas faire perdre à un temple ou plus largement à un objet relique son caractère de lien entre les générations. C’est la question du devoir de mémoire et de l’objet vénéré ou sacré.
Serait-ce une affaire de joie et de tristesse ? La poésie de François Malherbe, poète du XVI ème siècle y présente comme une interprétation notamment dans son poème « les larmes de Saint-Pierre ».
https://fr.wikisource.org/wiki/Po%C3%A9sies_de_Fran%C3%A7ois_Malherbe/Les_Larmes_de_Saint_Pierre
Dans notre société moderne, il s’agirait probablement plutôt de voir le bon droit de l’objet relique contre le mauvais.
La liberté de conscience devant être le sujet en résultant.