Écoutant chants Bardits de Belle Bretagne
Du dialecte Léon pour le seigneur Nann
Un jour, ainsi, une fée lui jeta un vieux sort
Ne voulant l’épouser en trois jours il fut mort
De contes, légendes, certaines oubliées
Les montagnes noires et la marche d’Arthur
Son armée qui surgit d’un pays enchanté
Prévenir la guerre, la cause la plus dure
Et puis sourire un peu au sort de la ville d’Ys
Qui se vit submergée par l’eau d’un tumulte
L’écluse ouverte avec plein de malice
La clé subtilisée dans un songe, une volute
Du chevalier Leiz Breiz partit pour dix années
Couvert du sang des Franks ennemis dit maudit
Il eut finalement la tête bien coupée
Mais par l’eau bénite fut un jour rétablit
Qui repose maintenant sous cette fontaine
Est-ce la jeune fille et son frère de lait
Cercles d’existences, Avalon point de haine
Le cheval, l’ haquenée et un air doux, parfait
Fantôme, dame blanche
La meurtrissure du cœur, un lévrier fauve
Et puis un coursier blanc, se frottant à ses manches
La fin, le paradis, tout près d’un ciel mauve