Marchant dans d’ombres heures
De paysages remplis de brume
Aux bois , aux vallées creuses
Au souffle glaçant
Des nuits d’hiver
Des voyageurs traversaient un passage
Ou la terre humide et fraîches
Paraissaient ne point souffrir de gelures
L’herbes, les arbres aux environs
Avaient encore leurs couleurs vertes
Et d’une nuit comme lointaine
Tel un étrange Palladin
Le ciel des étoiles cosmiques
Disait du lendemain
Que victuailles avaient du bon
après tout ce chemin.