D’une peau couleur ébène
s’invite ici la belle Nubienne
J’entends son rire qui résonne
tel un soleil inconnu
Sonore chant sous cet automne
dessinant des mondes disparus
Ainsi l’Egypte n’est pas si loin
Voila l’image du lieu béni
ou cette femme naquit un jour
sous les rayons d’une autre vie
Autre demeure ou elle court
Des siècles s’avancent quand elle sourit
Près de chameau s’activent des hommes
sous une tente s’abrite un noble
Et elle est la
dans ce passé
Vibrante
Echo
du rêve, du songe traversé.
(Térrog, La Nubienne)