C’était,ou étais-ce,est-ce toujours,une batisse en bois près d’arbres touffus?Après la promenade,fut-elle nécessaire parfois,dans les couloirs,Romuald en entendait encore parler.Pour certain,c’était un abri à nécessiteux mais pour d’autres cela était bien un trésor.Un monsieur davy racontait d’ailleurs qu’une nuit après 1 meurtre affreux (Sang mon dieu!),un homme,c’était caché dans cette batisse.Il n’était pas très grand mais d’une force et d’une agilité surprenante.Il vécut un mois en cet endroit tel un « baron perché » et depuis ce jour la forêt aux alentours changea.
Une troupe de brigand y arriva plus tard posa quelques bouteilles de vins et bu gaiement.
Erreur peut-être? Toujours est-il qu’ils mirent une semaine à sortir de ce qui était apparu
comme un petit bois.Certains étaient éclopés, d’autres avaient les paumettes noires,un buveur notoir se disait en lui-même.Je devrais arrêter l’alcool pendant quelques jours.
Il y a histoires et légendes autour de cet endroit mais le temps qui manque parfois à
l’écrivain comme pour la liberté explique ici la mesure de ces quelques lignes contées.
Térrog (La batisse en bois près des arbres)