Il était une fois dans une contrée lointaine, un évêque Patricien.
Il n’avait pas eu une enfance très heureuse étant entouré de femmes et d’une gente de
prêtres qui s’amusaient à le torturer.
Un jour sans qu’il le demande, on lui fit part de sa vocation de devenir évêque.
Etait-il d’une riche famille, nulle ne le savait?
Mais chose étonnante pour un évêque,
c’était que celui-ci était l’héritier de 2 églises, dans 2 pays différents.
Une église en France et une église en Italie. Bientôt on l’appela l’évêque patricien.
Il naviguait par des voix inconnus d’une église à une autre faisant des baptêmes en France et des baptêmes en Italie. Au départ, il appréciait cette profession d’évêque auprès des fidèles dans une sorte de communion qui le protégeait. Mais bientôt tout cela changea.
Dans cette contrée lointaine, il ramassait des quêtes, l’argent des fidèles. Il avait
choisi comme banque, une banque italienne car la mafia Italienne acceptait les dessous
de table. Il se faisait alors le défenseur des pauvres dans un pays déchirés en France et
ramenait son argent en Italie. Ce jeu dut durée des années car tant et si bien qu’un jour, il
fut pris de vertige maléfique.
On le comprend bien amasser une fortune était loin de l’image chaste et pieuse d’une
vierge marie ou d’un petit jésus. D’ailleurs cet évêque avait comme peut-être certain de
ses confrères une attirance pour les jeunes garçon et les verges punificatrice. C’est à dire
un long bâton de bois dont on frappe un esclave. Il s’agit en ce sens d’une pensée
romaine et sa double nationalité l’en excusait un peu. Bientôt, il
monta tout un réseau de trafics financier autour de gens de la police et des professions
médicales, organisant des pèlerinages pour gogo, des faux comptes de l’église. Tous
obnubilés par l’argent, dans une sorte de soif démoniaque telle les
vampires des carpartes.
Dans son esprit, il lui fallait un trône et l’évêque se rapprocha des politiciens. Son but
inavoué, insatiable, c’était de devenir Cardinal. De siéger au centre de Rome dans une
sorte de vengeance pour ses humiliations. Il était près à tout pour cela.
Et dans cette contrée lointaine on commençait à le soupçonner fortement.