Dans les bois du souffle errant
Alors que l’hiver laissait place au printemps
Une brume mélangée de pluies
Couvraient la nature immobile
Pluie de jours de joie et de tristesse
Des gouttes d’eau d’un coup semblaient
Comme plus denses que les autres
Telles des jets de lumières
Rouges et violets
Et alors que déjà on demandait à partir
Un souffle comme un long murmure
Semblait envelopper les environs
Un froid encore présent
Faisait de cette visite
Un attrait qui disait de ce lieu raconté
Qu’un bon repas n’était point malaisé
Et qu’il y aurait
Choses à dire et à conter.