Un magazine intéressant sorti dernièrement en Presse, les grands évènements de l’histoire-les Incas. Ainsi, dans ce livre, on peut voir une correspondance entre la politique actuelle de L’Etat Français et le système d’imposition et de travail des Incas.
En effet, L’impôt et le travail chez les Incas est d’abord basé sur le système des « Ayllu ».
C’est à dire un ensemble de terres appartenant à des ordres différents.
Le travail étant fondé sur le principe de réciprocité.
Le système de taxation s’imposant aux hommes et aux femmes sauf pour 10 pour cent de la population dit « élite » qui serait exempté d’une des taxes.
Je cite « Les dirigeants haut-placés auraient un pouvoir de décision, les chefs de rangs moins élevés se contentant d’appliquer les lois de l’Etat.
Parmis eux se trouveraient ceux qui préside des cérémonies religieuses-(dignitaires religieux), des gouverneurs de Province, des familles royales et une famille impériale.
Ces personnes seraient appelées « Bénéficiaire ».
Au deuxième rang des bénéficiaires figureraient les experts qui recevaient de la nourriture car leur métier n’était pas lié à la production agricole.
Il s’agirait notamment des comptables et des historiens d’Etat, des agronomes, des hydrologues, des architectes, des ingénieurs, des superviseurs, des artisans employés par l’Etat pour fabriquer des objets (métal, céramique, bois, pierres précieuses) ou des ouvriers chargés de construire les maisons.
Certains objets étant façonnés uniquement dans le cadre du culte des morts.
Une distribution des richesses se faisaient à partir d’entrepôts dit Impériaux.
A l’occasion des fêtes dites religieuse de grandes quantités de nourriture et de boissons étaient redistribuées dans tous l’Empire. »
Cette présentation de l’Etat Inca a des correspondances avec la politique de l’Etat Français depuis ces dernières années. Alors , les origines de l’Etat, un Etat Inca ?
La politique Européenne semble elle aussi allez dans ce sens dans l’Etat comme sorte d’Empire qui ressemble un peu à ce système d’Imposition et de travail. La question, c’est le système d’obligation, obligation envers qui ? Pourquoi ? Pour un « Ayllu » ?
La république française ne présente pas quant-a elle cela de la même façon.