Des jolies cimes des arbres
Ils apercevaient, parfois des oiseaux
Posés sur des branches comme des arbrisseaux
De leurs chants ou gazouillement, ils s’interrogeaient
Un livre à la main
Ils les regardaient
Le premier disant
Comme une lourde phrase
Sans des médisant
Il se demandait
Serge « y a t-il des oiseaux analphabètes ? »
L’air des bois semblait lui répondre
Un doux roucoulement de soleil d’été
Et alors qu’il tournait sa page pleine de caractères
Une phrase, lecture d’un dense passage
Soulevait à ses yeux l’être hominidés.
Et il s’exclamait « ………. »
Peut-être il riait….
Une voix alors se fit entendre
Reflétant des jours
L’oiseau effarvatte, qu’il ne pouvait comprendre.