De l’ombre labyrinthe
Aux hommes condamnés
Du traitement inhumain
Aux monstruosités
L’homme minotaure
Souffre dans son palais glacé
Un poète émérite
De l’art divin antique
Au joli nom d’Horace
souffrant de cette folie
Par femme qu’il fut épris
Fit offrande à la mère du dieu des océans
Un ex voto poème des fonds engloutissant
Une tablette de pierre pour invoquer le dieu
Et peut-être un peu d’or pour soulager les pieux
Délivrer de ce naufrage
D’amour antédyllique
Il dit de l’Aspérion ces paroles prophétiques
Que La souffrance de l’un est parfois le cœur des autres
Et qu’il faut du chemin gagner la mer des dieux
Pour cet ex voto du souvenir