Dans la presse de ces derniers mois quelques articles évoquaient les muses et leur origine. Dans la mythologie grecque, les muses sont les 9 filles de Zeus et de Mnémosyne.
La muse ou divinité de la nature bercée par le retour des saisons et des jours, des passages stellaires et des bienfaits du soleil.
A l’origine, les muses auraient été trois Néaté, Mésé et Hypaté. Trois muses passagères du chant de la lyre.
Elles auraient beaucoup « dansé au rayon de la lune », compagnes des dieux de Hermès à Apollon. On les comparaient aussi à des nymphes des eaux célébrées en divers temples de la Grèce à l’Italie.
Hésiode poète grec en contait neuf : Clio (muse de l’histoire), Thalie (muse de la comédie) Erato (muse de la poésie lyrique), Euterpe (muse de la musique), Polymnie (muse de la rhétorique), Calliope (muse de l’éloquence), Terpsichore ( muse de la danse), Uranie (muse de l’astronomie) et Melpomène (muse de la tragédie).
Elles appartiennent probablement au surnaturel mais sont aussi la personnification des arts et des savoirs notamment à travers des tableaux de peinture ou elles sont présentées. (Tableaux de Baglione, Boucher, Lesueur, Tischbein ect……)
Les neufs muses ou une magie qui exorcise, il en est ainsi des études antique reprisent au 19 ème siècle par différentes sciences dites par exemple ethnologiques, anthropologiques ou psychanalytiques.
Muses du Parnasse ou de l’Acropole, elles sont le symbole encore aujourd’hui de la nature, de la beauté et de l’art.