Dans les soirs de nuits étoilées, on conte parfois d’étranges histoires comme celle du vampire , du phénix et de l’épée perdue.
Dans le ciel de nos destins brille un chandelier, un chandelier à 3 branches, c’est dit-on dans les contrées, le chandelier du vampire. Peut-être un chandelier hébreu ou plus ancien encore, garde à ceux qui suivent ce chemin, c’est le chemin des morts et de la morsure noire.
De l’autre coté de l’horizon, on peut aussi entrevoir un grand phénix, étrange métamorphose de l’oiseau de feu. Est-ce l’immortalité qui se quérit là ?
Et au milieu de ces 2 images de l’emblemata, il est raconté qu’on peut trouver un trésor. C’est l’histoire de l’épée perdue. L’épée foudroyante comme le vent qui souffle.
Un jour un jeune chevalier trouva cet épée, on entendit des murmures puissants, comme un combat venant de l’autre monde. Diable et diabolique diablotin, magie d’éclair et de chant lointain. Et dans cette joute de corps et de matière, il est dit que le lendemain, le ciel en serait plus pur comme un bleu de satin.