De marches en marches
Aux jours des jours
Il était raconté
L’histoire du lac du même
Qu’un tel lac faisait oublier soucis et souffrances
Et que pour s’y rendre
Il fallait traversé une forêt profonde
Comme enchantée
Que le promeneur en revenait changé
Pareil à un doux soleil que les nuages et la pluie n’avaient pu obscurcir
A la fois triste et mélancolique mais chaleureux dans le chemin du retour
Sur le monde vivant
Comme un souvenir fantastique
Que la nature avait imaginée.