De la nature aimée
Près de Cybèle et de monceaux de pierre
Dans des rêves de bacchantes telle une chanson stymphale
Il était raconté le jeu de la fortune
Qu’au hazard du destin
Qu’au bleuité des lunes
D’amoureuses sources
Coulaient des nuits opaques
Et que pour plusieurs comme les yeux bandés
Parcourir la vie
Allant jusqu’au soleil
N’avaient ce doux secours
Que des songes entrevus
A la lueur de temples
Aujourd’hui disparu