Par des jours de soleil d’été
A l’horizon de nuages lointain
On conte mystérieuses légendes
D’une Harpe millénaire
Taillée en art de façon
Sur sa dorure d’albâtre boisée
Sirène éorsoepe
Brodequin de velours toilée
Et chant d’éternité
Dans la grande salle des jours qui se lèvent
Un murmure de silence syllabes
Musique des ys et des désirs
Et des nuits aux mélopées romantique
Qui soufflent dans le vent
Des capricieuses saisons.