Une nuit millénaire, ils descendirent sur terre
Plus encore sous la terre
La caverne abritée.
Une osmose féminine qui a perdu ses dieux
Une ombre masculine qui voudrait être un dieu
De ces vivants reflets à l’aube de nos jours
Plonge dans la muraille la grotte et le flambeau
Etaient-ils mort d’une nuit
Dont on ne revient pas
Ou simplement, assoupi
Tel un vent d’autrefois
Douleur en ces instants
Ou l’on ne vit plus l’autre
Et pour le retrouver
Parmi les millénaires
L’homme s’invente un chemin
Aborde les enfers
Alors bêtises humaines
Quand vous releverez-vous !
Pour de la grotte éteinte
Allumer le flambeau