La femme que l’on aime
On ne la voit jamais
Elle est un jour d’ailleurs
D’une autre éternité
Et ainsi va le monde étrange humanité
Que pour un lien d’amour
Temps vienne à condamner
La femme que l’on aime
On ne la voit jamais
Elle est un jour réelle
Puis devient un beau rêve
S’échappant dans la nuit
Le souffle du non dit.
La femme qui nous aime
On ne la connait point
Elle est une vérité
Qui n’est pas nos semblables.
De l’amour terrestre, terre qui nous retient
Femme de l’oublié
Pour une guerre de lendemain
A vous beaux princes encore
Qui souriez de l’age d’or
Que vos yeux éblouis,
Eloignent le souçi
Celui
Songe du mauvais jour
Soient
Prudents en conseil
Ne payant trop monnaie
N’ayant trop poids de corps
En trop point d’imparfait
Un jour une vieille femme connaissant une contine et racontant d’un homme qui a aimé beaucoup, l’histoire de celui-ci.
L’impasse dans une ravine, les yeux baisés au front avec 2 pièces d’argent.