Le structuralisme, la notion de structure est une pensée apparue dans les années 1950. Il s’agissait de globaliser un ensemble de savoir (Histoire, philosophie, psychologie ect….. pour s’approcher de ce qui est appelé la conscience de l’individu.
Plus théologiquement c’est la question de l’image et de son arrivée dans la pensée de l’individu. Une image n’ont plus créatrice ou imaginaire mais la recherche d’une image touchant directement la conscience de l’être humain.
On comprend le danger d’une telle machine structurelle visant à contrôler l’individu.
La notion de structure fait aussi penser à ses grandes structures qui voudrait contrôler les populations, des organismes divers et des cas spécifiques comme le cas des éclairages hypnotiques.
Des structures ou semble t-il comme pour le procès kafkaien, personne ne semble responsable, pas de réponse au question, une responsabilité éludée par de multiples acteurs et des papiers signées ou à signer sans réel justification sinon celle de la bonne marche de la structure.
En poésie, cette question du structuralisme se définit à travers une recherche linguistique, ainsi on passerait du mot pré, c’est à dire l’étendu, la distance, au mot près, c’est à dire à coté.
Des poètes comme Yves Bonnefoy se sont intéressés à cette question du structuralisme en étant peut-être un de ses partisans pour une conscience du monde dite libérée des entraves historiques et de l’histoire de la poésie mais qui ressemble à la lecture de certains poèmes de poètes à de l’abaissement, voir un abrutissement.
Le but serait-il d’abrutir le lecteur ?
Si on va plus loin dans cette question du structuralisme on arrive à une pensée similaire développée par certains Stoiciens ( Les stoiciens: une école de pensée grecque des portiques d’Athène en -300 avant Jésus christ.), qui ont été considérés comme une secte stoicienne, avec un danger pour l’être humain dans le fait d’une théorie néfaste, issue de la manipulation de l’atome, une sorte d’atteinte à la structure du corps.
Le structuralisme est donc une théorie à utiliser avec précaution pour ne pas porter atteinte à la libre conscience de l’individu.