Après une brève recherche sur internet, il apparaît que la notion d’égalité citoyenne ne serait pas respecté par les Etats ou décideurs de même que la déclaration des droits de l’homme et du citoyen.
En effet, une définition apparaît celle du citoyen de seconde zone.
Un citoyen victime de discrimination systématique au sein d’une juridiction donnée.
Cette discrimination précise que ces citoyens voient leur droit légaux, leurs droits civils et leur horizon socio-économique limités. Ils sont aussi souvent victimes de mauvais traitements ou de négligence de la part de leurs supérieurs putatifs.
On se demande bien sur à la lecture de cette définition qui décide d’une telle mesure. Est-ce un préfet ?
Il est précisé dans le même article que la loi plutôt que de protéger le citoyen de seconde zone, l’ignore et motive même parfois son harcèlement.
Il n’est pas expliqué comment attaquer une telle décision de classement d’une personne. Et si cela est légal devant la loi, une telle décision de classement.
Mais, à la lumière de cette définition, il apparaît que la liberté, l’égalité et la fraternité ne sont pas respectés par des personnes disant protéger les valeurs de la République.