De tristes évènements se sont produits le 13 novembre 2015 à Paris comme vous le savez certainement au Bataclan, près de République, Nation et au stade de france, condoléances aux familles des victimes.
Des poèmes sont présentés ce week-end dans le journal ouest-france pour rappeler que la France est avant tout une terre de liberté.
Mais ces évènements, s’ ils ont besoin du soutien de la poésie pour exprimer la douleur ressenti ne reflète pas moins une réalité décrite par certains politiciens il y a quelques années de cela à savoir le problème des abus de concerts et spectacles.
En effet, avec le nombre de concerts présentés chaque année en France depuis les années 1990 de même pour le rythme effréné des calendriers sportifs, il ne faut pas s’étonner de se retrouver en face d’attentat à la vie humaine. Cela reflète, un problème non réglé depuis 1980 et l’ouverture des frontières. Le terrorisme de l’intérieur. En effet, si l’homme peut voyager plus librement ainsi que les objets c’est son retour de voyage qui pose question. Ainsi, ces personnes sont mortes peut-être parce qu’elles avaient voulu voyager en dehors de leur quotidien, écouter une musique , regarder des joueurs de foot, prendre un verre dans la rue.
La grande question poétique est plutôt celle de l’esclavagisme et de la récupération des idées des combattants de l’esclavage par des esclavagistes cachés sous des livres et des thèses. C’est le questionnement d’une société, car l’esclavagisme amène le terrorisme, une société basée sur le mensonge depuis des années.