Dans les méandres de la maison de philosophie
Du mal et du bien dit
A la mesure des prières
Des beaux jours et des annonciations
Se pose parfois l’esprit fidèle
Comme un doux été dans la froideur des temps
Chant que celui-ci inspire
Quête pour certain dans la morosité de l’univers
Pour que celui-là
Tout un devienne
Au vœu de l’éternel retour
Le printemps semblait venir sans hiver
La pluie n’était point douce
Et la chaleur des cœurs
Contemplait la foi du présent