La femme que j’aimais
Était une fille du peuple
Petite dans sa tenue de lutine joyeuse
Elle avait ce charme doux de l’oeil
Qui du conseil fait le présage heureux
Son sourire semblait dire bonjour aux oiseaux
Comme un soleil qui demande à éclore
Et son image habite encore
Le mystère ou je la vis d’une fois
Qu »il est doux le temps,
A l’éclipse de ces mots
Qu »il est doux le temps
De l’amour aussi haut