Quellle est la nature des dieux?
C’est une question qui a traversé les siècles sans réponse clairement établie,du fait de l’opposition entre les incroyants se basant sur une rationalité toute économique à savoir qu’un ensemble de livre et d’auteur sont considérés comme bon car ils ne sont porteur que d’une seule réalité, une réalité qui peut-être contrôlée facilement, génératrice de profit et de stabilité et d’un raisonnement dit logique . En face de ceux-ci, il y aurait les véritables chercheurs dans le réel et l’iréel qui eux n’ont pas ce souçi d’une rationalité de société.
La nature des dieux a été envisagé par de nombreux auteurs. David Hume philosophe du 18 ème siècle plongea ainsi dans la question de la religion naturelle. Les dieux sont-ils dans la nature ? Une interrogation du siècle de louis Xiv que l’on retrouve notamment dans la poésie du Marquis de la fare.
Les dieux se seraient d’abord, le voyage à cythère, une ile grecque cité par de nombreux poètes. Le temple de l’amour, de la déesse aphrodhite. Et l’on rentre alors dans la première image du dieu ou de la déesse.D’après les poètes, il s’agirait des yeux de Cythéré. S’agit-il d’une cythère rêvée ? D’une déesse d’un culte ? D’un passage vers une autre conscience ? D’un lien entre mort et vivant ? D’une terre particulière?
La deuxième part du dieu qui peut-être relevé par de nombreux poète est l’angélisme.
Pontus de Tyard y fait référence dans son livre des erreurs amoureuse. Mais c’est le philosophe suédois Swedenborg qui développa une théorie sur l’univers des anges.
Il y aurait une matière immatérielle qui échapperait au commun des mortels. Honoré de Balzac l’a décrit dans son livre Séraphita. Et cette matière des anges semble emprunte d’une science jésuitique. Les jésuites auraient-ils développés une science de la vie après la mort ?
Du moyen-âge et de la renaissance, c’est une autre hypothèse qui semble jaillir de la nature des dieux à travers l’alchimie. Le ciel alchimique, le ciel des esprits serait en fait un autre ciel non accessible à tous. On comprend ensuite les dérives de sectes, de groupement et corporations de toutes sortes qui ont pu se développer par la suite pour acquérir cet état de conscience.
Mais quelle est la matière de ce dieu ? Est-ce un dieu du vent comme l’affirmait certains anciens dans leur poésie ?
Ou n’est ce, ce dieu noir qu’aurait cherché l’ordre des dominicains notamment.
Un dieu comme une enveloppe brumeuse d’une science dont la pureté dépasserait le maléfique.
Est-ce le dieu Thanatos, dieu du fleuve qui se manifesterait ainsi?
On le comprend la nature des dieux peut jouer sur ce que j’appelerai notre énergie dimensionnelle et reprenant de la Socrate et sa question de la dimension.
Il aurait donc de ce fait des lieux ou renouer avec cette énergie des dieux. D’où les sanctuaires et temple conçut d’après certaines géométrie, une certaine architecture.
Une science du dieu qui semble comme oublié dans notre monde moderne ou plutôt sous contrôle.
Les dieux étant donc peut-être un chemin vers notre véritable conscience pure.