La Chari’a qui se définit comme le chemin pour respecter la loi d’après les écrits islamique est présenté d’une autre façon par le poète arabe Khalil Gibran.
En effet, d’après l’interprétation de ses textes, la Chari’a (loi canonique) serait une violation de la liberté. Il s’agirait d’une double chaîne, intérieure dans la pensée et extérieure dans la vie. Il est exprimé une révolte contre les causes de cette Chari’a, des causes qui se trouvent dans le passé.
Mais concrètement que serait une Chari’a. Cela pourrait se définir comme un ensemble de mots, de critiques touchant une personne dans son adolescence ou dans sa vie de jeune adulte. Cet ensemble de mot et de critique semblant comme être initié par une communauté ou une secte. Etrangement cette communauté ne semblerait pas être une communauté religieuse comme on peut le penser. Les communautés religieuses, à mon avis, n’utilisant probablement pas la Chari’a en ce sens.
On arriverait donc à penser que l’utilisateur de cette Chari’a faisant souffrir une personne par l’intermédiaire d’une communauté serait peut-être un doyen. C’est ainsi la situation de l’étudiant ou encore du lycéen qui devrait bénéficier d’une protection plus importante face à ce genre de menace.
Pour d’autre cela pourrait être à l’instigation d’une sorte de sorcier.