Qu’est ce que la croyance ? La quinzaine littéraire dans son journal de novembre 2016 présente une série d’article sur ce sujet.
L’entretien entre Luc Vigier enseignant de la faculté de Lettre et Philippe Le Guillou écrivain nous présente en illustration un tableau de Léon Bonnat, une représentation de Job.
Job est un personnage de la bible dont l’histoire est racontée dans le livre de Job. Job une sorte de prophète qui aurait subit une série d’épreuve par Satan se retrouvant dépossédé
Dieu lui expliquant ensuite qu’il ne faut pas juger ces jugements avec une vue d’homme et le rétablissant dans ses droits.
A la vue du tableau de Léon Bonnat on ne peut penser qu’à une scène de torture. Le récit biblique de Job n’a peut-être pas été traduit correctement. C’est ce que laisse supposer ce tableau.
Mais, le mot qui attira notre attention en ce novembre 2016 est celui de ne pas juger des jugements avec une vue d’homme.
Que peut vouloir dire une telle affirmation ? Qu’il s’agirait de jugement ou d’une vue d’extraterrestre ?
La question peut sembler farfelu mais si on s’intéresse à certains articles de presse récent sur la définition de la république , on peut supposer que cette question n’est pas dénué de sens.
En effet, un article dans le magazine l’Histoire de ce mois ci définit la République au vu de 1789. La république qui se définirait d’un coté Moderne et d’un coté Ancien.
Pour les anciens de la République, la république serait la garantie d’un bien citoyen.
Pour les modernes, tenant d’une république libéral, le plus important est l’absence je cite
d’interférence. Ces conceptions de la République sont-elles applicables en France ?
La question de l’interférence dans un monde connecté est une question complexe. Il s’agirait peut-être de frontière à la fois matérielles et immatérielles.
Alors ce tableau de Job de Léon Bonnat ne présenterait-il pas une question d’interférence ?
La croyance dans ce cas serait dans une certaine mesure un sujet dépassant l’être humain donc extra-terrestre.
Philippe Le Guillou dans l’entretien de la quinzaine littéraire conclut quand à lui que croire, c’est écrire.