En ce matin frivôle
Il avait levé un pied
De son lit, enrubanné
Voulant mettre ses chaussures
Des bottillons légers
Il avait buté dans une chaise
Comme d’un rêve abasourdi
Alors, il rencontra jeunes demoiselles
Et pour la première
Subit le mépris
Il en souffrit beaucoup
Jusqu’à d’affreuses tortures
Etait-ce le fait d’une chaise
Ces aventures d’amour ?
Aujourd’hui, presque libéré
Il retint ce discours
Qu’un butant dans une chaise
Est cause d’amour ténébreux.