Marchant dans les chemins
Aux temps des saisons
Promenade et rêveries
Nuits d’été ou des longs hivers
La musique des jours
Le silence des mers
Les lunes dans les campagnes
Et la brise des flots.
Marchant dans les chemins
Aux temps des saisons
Promenade et rêveries
Nuits d’été ou des longs hivers
La musique des jours
Le silence des mers
Les lunes dans les campagnes
Et la brise des flots.
D’histoires racontées et contées
Il était parlé
D’une forêt étrange
Qui pouvait être la forêt des morts
Comme la forêt des printemps
Elle se nommait
La forêt du Nibelung
En hommage peut être à Odin
On contait aussi histoire d’anneaux magique
Et de société de future
Dans le bruissement des flots
De monde engloutis.
Des mythes d’Egypte
Du Nil blanc au Nil bleu
On contait que le soleil,
Lorsque que les deux cours d’eaux se mêlaient
Dans les nuits de Noun,
Etait blanc comme l’ivoire des jours
Et que le vent et la pluie venant
Rendaient du sable au désert.
Le commandant TK , Gilles Josserand , se vit un jour en face d’une affaire qui bouleversa son avis personnel sur le droit et notamment le droit pénal. En effet, poursuivant avec son équipe une filature dans une commune retirée de la Somme, ils firent une saisie chez un habitant , dans cette saisie, ils y trouvèrent plus de 200 code civils. La personne disait faire collection. Leur filature , les avaient ainsi amenés la bas pour des actes de terrorisme dans la région. La saisie surpris le commissariat, que faire de ces 200 code civils ? Mais, la personne interpellée demandait a être remboursée car on lui avait proposé de stocker ces codes en vue d’un congrès international. L’affaire passa au tribunal mais c’est finalement l’armée qui vint récupérer ces codes au commissariat. Le commandant TK défenseur du droit eut une surprise quant-il regarda le classement de l’armée pour ce dossier et cette saisie. Les codes civils avaient été classés comme saisie dans la catégorie « Jouet réplique d’original « .
Et il y eut de par la suite, un débat entre Justice et Armée.