Enquête du détective Laba-La définition d’un voleur (petite nouvelle)

Le détective Laba discutait avec son ami monsieur Nouvelle. Mr Nouvelle lui disait, je ne comprends pas ce que vol la plupart du temps un voleur. Je vois des personnes dans la nécessité, d’autres menant grand train de vie .Des pauvres, des bourgeois qui disent qu’on les volent indûment, que c’est l’Etat qui les volent , d’autres parlent de société, de caste élitiste auquel ils n’ont pas accès, les traitants de même de voleurs. Que peut donc bien voler un voleur ?

Le détective Laba  lui répondit avec emphase, c’est un peu un secret de polichinelle.

Le voleur volerait d’abord  en fait ce qui est appelé « la quittance du diable ». C’est bien la un paradoxe mais c’est ce qui ferait fonctionner tout un commerce pénaliste.

Comment l’as-tu appris demanda Mr Nouvelle ? J’ai  un peu étudié le 19 ème siècle et en effet, à cette période de l’histoire, ce problème avait été avancé. Ainsi,  un auteur de théâtre comme Musset à d’ailleurs écrit une pièce appelée « la quittance du diable ».

Mr Nouvelle  fronça les sourcils , c’est un abus des plus détestable. A qui faut-il donc se plaindre ?

Monsieur Laba lui répondit: »On dit que c’est la Bretagne qui s’occupe du diable , j’y séjourne quelquefois dans l’année ».

Les deux hommes marchaient sous un vent frais et allaient déjeuner.

 

De Lord Byron-Ecrivain et poète

Lord Byron est considéré comme  un des grands poètes britanniques, né à Londres en 1788. Que dire de celui-ci par rapport au film présentant ce personnage ou au biographie le concernant ?

Lord Byron naît avec une infirmité un « pied-bot » après des premiers pas scolaire présentés comme peu concluant, il entre à 17 ans au Trinity College de Cambridge en 1805 et devient Lord en 1809. Il effectue un voyage en Orient en passant par la Grèce ou ses désirs de relations sentimentales et d’extravagances  se voient exaltés.  Il est semble t-il entouré de femmes  et se marie avec une anglaise Anna Milbankee en 1815 et à un enfant qui ne survivra pas. Son mariage ne se passe pas bien et il est accusé en quelque sorte de folie ce qui l’amène à un exil hors de l’Angleterre entre Venise (Etat Italien un peu différent des autres états historiquement-une république) et L’Italie de  Pise et Gênes.

Ses débuts dans l’écriture avec le pélerinage de Childe Harold  lui permette de signer un contrat avec l’Editeur John Murray ou il est libéré de tous problèmes financiers avec un paiement à la pièce pour chacune de ses pages publiées. Il voyage en Suisse avec un groupe de poète dont le poète Percy Bysshe Shelley et sa femme Mary, auteur de Frankenstein.Il  a un deuxième enfant avec une femme de lettre Claire Clairmont, prénommée Allegra qui ne lui survivra pas. Après une vie en Italie ou il rencontre la comtesse Teresa Guiccoli  et commence à s’intéresser au mouvement révolutionnaire Italien avec les Carbonari et aussi Grec, il apparaît comme voulant rester  au delà des probités de son monde.

Un homme dont le charisme et la beauté semblait frapper ses contemporains comme lucide d’après ses écrits, dans ses extravagances, sur sa propre mort, à 36 ans lors de la bataille de Missolonghi en Grèce.

Un poète qui aurait commencé sa carrière sur un livre « les heures de loisirs » précurseurs des  loisirs proposés dans notre société moderne.

 

Poème des fruits d’hiver

Une jeune fille que le froid avait amenée à se réchauffer près d’un  feu

Dans une plaine entourée de grands arbres

Avait près d’elle un panier

Rempli de fruit d’hiver

« A les jolies fruits » s’exclamait-elle,

« J’ai rempli mon panier

C’est un hiver plutôt doux

Nous les mangerons au dessert ».

De ces fruits comme plus gros que de coutume

Elle disait

 » Ce sont des fruits naturels , mangez en, vous reprendrez des forces, assez de toutes ces cochonneries ».

Ces compagnons, certains qu’un dur labeur avaient  rendu comme un peu « claustérisé »

Mangèrent alors  les fruits avec appétits

Se mirent à discuter avec entrain

La joie semblaient les gagner

Et le ciel  assombri  par les nuages

Se leva d’un coup  sur un bleu azuré.

 

 

 

 

Histoire de Mr Lallouche (petite nouvelle)

Monsieur Lallouche sortait un matin d’un établissement privé  un livre sous le bras et discutait avec son ami espagnol Mr Coignard.

Il lui disait : « Je suis en train de lire un ouvrage de  xavier Grall, le poète  » . Il exprime dans son livre le fait qu’a l’école on a parfois l’impression d’être enfermé sur place  à la différence de la maison  » .

« Qu’en penses-tu ?  »

« Est-ce une affaire psychologique ?  »

Mr Coignard qu’un bon déjeuner du matin avait rendu un peu jovial lui répondit brèvement.

Non mon cher, d’après ce qu’on m’en a dit « C’est plus une affaire de paiement « .

C’est en tous ce que m’a raconté l’amie du notaire de la commune.

Lallouche fit un bref hochement de tête et pensant en lui-même à cette question de rançon que son professeur d’histoire lui avait expliqué plusieurs fois mais ne voyait pas jusque là le rapport avec la fermeture de l’établissement pour le carême.