Des congés-Les poètes médiévaux du nord de la France-Du cloître à la place publique

Un livre interessant dans la collection Gallimard poésie NRF sous la direction de Jacques Darras  intitulé « Du cloître à la place publique-Les poètes médiévaux du nord de la France-XII ème XIII ème siècle ».

Ce livre rassemble des textes médiévaux des poètes du nord de la France en langue d’oïl.

Ce qui nous interessera ici, c’est une forme poétique particulière appelée « les congés ». Elle repose sur le douzain octosyllabique de rime aabaab et bbabba.

Le congé serait une invention littéraire originale propre aux poètes Arrageois, les habitants de la ville D’Arras.

Le congé médiéval qui est en quelque sorte l’ancêtre de nos congés actuels.

Il s’agit de poèmes demandant congés. Le premier poème présenté est celui d’Adam de la Halle, un trouvère. Dans ce poème, cette demande de congé  probablement à la seigneurie. On y apprend les raisons de ce congé. Le poète exprime le fait qu’il a été oté de l’étude en quelquesorte des études de ce qui était appelé « Le clergie ». Il évoque aussi le fait qu’on ait médit de sa famille.

Jean Bodel, trouvère Menestrel exprime lui dans sa demande de congé, son absence des croisades pour maladie  d’un « corps à refaire » et d’un amour déchu en demande de guérison par un poème pieux.

Baude Fastoul, trouvère artésien, de la ville d’Arras, exprime dans son poème, son congé pour cause de lèpre.

Le congé invention du 12 ème -13 ème siècle  présente donc les premier cas de congés au Moyen-âge.

Avec une vue des congés qui peut-être comprise comme celle de congés ordinaires ou extraordinaires.

A noter, la justice du Moyen-âge aurait reconnu comme un des premiers congé de droit, le congé de la seigneurie pour fabriquer du cidre (étayage-fermentation). Le cidre étant considéré comme ayant  des vertus guérisseuses.

« La secte de la sécurité sociale »

Un jeune homme qui n’avait pas de problème de santé particulier se retrouva un jour en face de la « secte de la sécurité sociale ».

Etait-ce un groupe de médecin qui faisait des profits non déclarés ?

Toujours est-il qu’un jour souffrant d’une maladie de la pensée se retrouvant dans divers cmp jusqu’au cmp Saint-ouen. A saint-ouen, il n’eut plus confiance en les psychiatres et leur traitement médicamenteux qui était déconseillé dans les années 1960 d’après ce qu’il avait pu lire. En effet, étant reçu par un psychiatre arabe peut-être égyptien celui-ci au cours de l’entretien ou le jeune homme était un peu fatigué lui dit textuellement « Il serait temps de faire votre testament monsieur ». Le jeune homme n’avait pas plus de la trentaine. Ayant vu, un autre psychiatre de la même ville lui parlant lui de « bonus malus ». Il s’était finalement dit que toutes cette machine de la sécurité sociale était faite pour engranger de l’argent et qu’il ne fallait mieux pas prendre d’exonération à 100 %.

Le prix du médicament étant de plus de 400 euros par mois. Il se demandait qui pouvait bien recevoir ces 400 euros tous les mois pendant plus dix ans. Etait-ce un laboratoire, des pharmacies acoquinées ?Pharmacie qui ne voulait pas lui vendre un simple produit pour nettoyer ses oreilles mais acceptait la délivrance de ce produit chaque mois en échange de plus de 400 euros. Voyant qu’à Paris c’était pratiquement le même discours dans son travail, un  travail de fonctionnaire, on avait fini par lui dire tout haut que c’était « à la vie, à la mort ».

Finalement, on lui avait parler d’hospitalisation à l’avance, de personnes inscrites sur des listes peut-être par un directeur d’hopital ou un chef de service infirmier. Il avait fini par se demander si tous ces gens ne travaillaient pas avec le cimetière de façon illégale.

Il était rentré près de sa famille et  devait reprendre son travail mais ne savait pas encore ou.

 

 

Le mage Icaribus (petite histoire)

Quelquefois dans les froides soirées d’hiver, il était raconté l’histoire d’un mage peuplant un pays fantastique. On l’appelait le mage Icaribus. On disait beaucoup de chose sur lui qu’il descendait d’un peuple sumérien ou même encore sytien, qu’il parlait plusieurs langues dont des langues très anciennes. Qu’il appréciait les  grimoires et les bijoux et disait que rien n’était gratuit. Les paysans des villages  en avait la machoire qui brinquebalait.

Un jour qu’une pluie importante s’abattait dans la campagne et qu’un gros orage menacait, la population inquiète pour ses récoltes avaient demandé à un vieux rebouteux d’invoquer le mage icaribus dont ils avaient entendu parlé dans une veillée.

Le vieil homme près d’un monticule de pierre avait entamé d’une voix étrange, une formule dans un  patois presque bocageux.

Mais rien ne s’était passé. Le lendemain au même endroit deux jeunes enfants découvraient près des pierres une petite sphère en métal  peut-être une sphaera qui  était très ancienne. Ils la ramenèrent chez eux et la posèrent sur une table.

La nuit vint bientôt sur le village et un gros orage tonnait fortement; et tant et si  bien qu’un énorme éclair traversa un mur et vint frapper la sphère.

On entendit un bruit strident  comme celui d’une cocotte-minute avec des étincelles de lumière.

La sphère bougea, s’anima telle une machinae étrange, on perçut une voix dans la nuit peut-être d’ un latin  antiquisé, il se mit a pleuvoir doucement et le lendemain matin un grand soleil éclairait la campagne pendant une semaine , le blé et les plantations des champs quelques temps après avaient comme pris des couleurs.

Le mage Icaribus était peut-être intervenu….