Les contrées oubliées (extrait)

(Les contrées oubliées (extrait)

 

Dans les contrées oubliées

Ses tendres danses

En cité

La lame belle de sa flamme

En soupir des autres âmes

L’immensité

Au demeure

Entièrement de ce cœur

Baiser amor

Du mortel

En chaire

Disparate autel

De l’assemble

A ces heurts

Entre terres et douleurs

Comme à l’ange de pitié

La lumière un versant

La contrée mansement.

Essai d’un dépot de plainte contre X pour un vice de construction sur des poutres apparentes fissurées et craquelées

Je dépose plainte contre x pour vice de construction sur des poutres apparentes de soutènement d’un balcon d’entrée qui semblent sous dimensionnées et fissurées un mois à peine après leur installation, installé par un menuisier de Peillac. Un risque donc d’un affaissement de ce balcon un jour. Probablement, un bois de mauvaise qualité.

 

Du monde ouvrier et de leur revendication

Qu’est ce que le monde ouvrier, quelle est sa revendication économique ?

Il faut revenir au 19 ème siècle pour comprendre le fondement de la revendication ouvrière telle quelle est théorisée.

Ainsi, le problème d’un ouvrier au 19 ème siècle était le suivant.

Il fabriquait un produit avec une valeur de production 4 et ne pouvait acheter que des produits ayant une valeur de production 4 mais pas 5.

Le combat avancé au 19 ème siècle était donc de permettre à un ouvrier par l’effet du capital et de la mondialisation industrielle d’acheter un produit ayant une valeur 5.

Dans notre monde actuel, cette revendication ouvrière n’aurait semble t-il plus raison d’être car les produits qui sont proposés dans le commerce et de façon mondiale ont probablement parfois une valeur 5 supérieur à la valeur 4 de la production d’un travail.

On le comprend depuis le 19 ème siècle, on ne travaille pas que pour manger. Dans le cas contraire cela serait probablement se retrouver dans une situation de communisme arrièré. Et c’est peut-être la difficulté en France qu’entretiennent les décideurs et certaines communautés.

Le problème se situerait donc plus sur la question de l’information ou de la rétention d’information pour l’achat de produit. Et aussi sur la question du vol d’objet de produits acheté ayant par exemple une valeur 5 supérieure à la valeur 4 du produit du travail.

L’avenir contenté  du monde moderne se situerait donc dans cette possibilité en partant au bas de l’échelle du travail de pouvoir acheter un produit ayant une valeur 5 en produisant un travail d’une valeur 4.

Mais que dire des produits ayant une  valeurs 6, 7 ou 8 de production ?

Qui évalue les valeurs d’un produits de l’industrie ou de l’artisanat ? Quant est-il des produits biens meubles ou immeubles issus d’une sucession et vendus ?

Les revendications du monde bourgeois ne sont présentés dans notre société moderne à ce jour, notamment dans les campagnes politiques.

L’Etat social semble avoir répondu aux revendications du monde ouvrier depuis 2 siècles mais quant-est-il pour les autres, notamment les petits professions ?

 

Le signe autrichien (petite nouvelle)

Il y  avait, dans une forêt lointaine du Voralberg , peut-être  au temps du moyen-age,  d’étranges causeries sur de mystérieuses disparitions de brebis dans les troupeaux.

Ce qui provoquait un dommage aux paysans des villages pour la confection de leur fromage.

Un bourgemestre qui avait été sollicité par la population pour régler cette situation avait embauché 2 hommes pour faire une battue dans la forêt.

Le temps était plutôt ensoleillé mais de diverses façons, des intempéries frappaient parfois le pays.

Et le sommet de la montagne du Voralberg était considéré certains jours comme dangereux.

On parlait de la présence d’une tribu de celtes, de mangeur de chair, et de bêlement de brebis dans la nuit.

Les deux hommes,que l’expérience de terrain périlleux avait endurci, firent  donc une marche vers 23 heures trente dans cette forêt.

Le bourgemestre leur avait indiqué qu’il leur faudrait trouver un signe de ces disparitions  étranges car il ne s’agissait peut-être après tout que de voleurs dans les paturages.

La nuit passa et le lendemain matin, il n’y avait aucun retour des deux hommes.

Le bourgemestre se rendit donc avec des villageois au pied de la montagne. Certains grimpèrent au sommet d’un monticule de pierres visible des landes et ils y découvrirent un crane comme enfiché dans le sol et des pierres avec toutes sortes  d’inscriptions dont ils ne déterminaient pas la provenance.

Non loin de ce crane, ils trouvèrent  deux  brebis égarées et aucunes traces des deux hommes.

Le temps passa et la paix semblait revenue dans les troupeaux de brebis. Les paysans ne se plaignaient plus de disparition.

Des légendes et des contes commencèrent à circuler autour de la montagne du Voralberg

et quelques chanteurs se mirent à les raconter en musique.

Dans la forêt du Voralberg, on parlait parfois d’un signe dans le ciel du soir et de langue  alémanique dans la fraicheur des prairies.