Le curé de Soterville était l’administrateur du culte dans une petite église depuis 3 ans. Il avait en quelque sorte franchit son noviciat et continuait sa quête spirituelle de dieu à l’aide de cours de théologie donnés par un haut ecclésiastique.
Le curé de Soterville était un passionné de Saint-Augustin et entretenait une franche amicalité avec le couvent dit des « grands Augustins » de Paris.
Etait-il lui même un grand augustin ,
Comme la littérature des siècles à pu l’exprimer ?
L’autel de son prêche était en tout cas apprécié de la population.
Le curé de Soterville avait eu une enfance étrange, vivant seul, coupé du monde et entouré de toutes sortes de livres.
Au contraire de lui, sa sœur menait une vie dissolu, faîte de joyeuse ripaille et de telle coucherie qu’il était bien difficile pour lui à l’évocation de son nom, elle s’appelait Divine, de ne pas hocher de la tête d’un mouvement silencieux.
Le curé de Soterville ayant pensé la rêgle de Saint-Augustin par delà le manichéisme, se voyait comme investit d’une mission de communauté et pour lui sa sœur était une jeune artiste qui n’avait pas trouvé sa voix.
« Les voies du seigneur sont impénétrable » lui disait amicalement et peut-être avec moquerie un habitant de sa paroisse.
Un soir, c’était peut-être une nuit d’aout, le curé fit un rêve éveillé, étrange. Dans son rêve, il vit la vierge marie, une vierge marie qu’il ne connaissait pas, don le visage semblait d’une autre époque, lui baiser la joue.
C’était sans doute son mariage mystique comme un voile blanc qui entoure une vérité .
Le dieu un et trinite lui avait signifier quelques choses.
Etait-ce la transcendance de dieu comme l’expliquait Saint-augustin, l’immortalité qu’il faut acquérir? Le curé de Soterville en novice sur la question aurait bien interroger sa sœur sur les rites puniques, romano paiens qu’il sentait tout à coup l’envahir.
Le curé de Soterville était pour la pureté, le chemin de la pureté mais pouvait concevoir qu’un bien et un mal existant pour chaque homme , le pire mal pouvait amener au bien.
La sœur du curé de Soterville trouva son frêre changé comme marié celestement, était-ce une différence de vent ? Il faut dire qu’a Soterville le vent changeait souvent.
Etait-ce un signe du destin ? Un moine du couvent des Grands-augustin se présenta un jour à l’église avec une bouteille de vin pour la sacristie nommée L’Ange-Marie.
Et le curé de Soterville fit une homélie.