En contant dame neige
Pour qui attend l’hiver
Marche,tombe flocon
Froideur de janvier
Décembre est déja loin
Et souffle court
Lointain
La bise du matin
Homme vivant du dehors
Blancheur de la plaine
Et givre dans les rues
(Térrog)
En contant dame neige
Pour qui attend l’hiver
Marche,tombe flocon
Froideur de janvier
Décembre est déja loin
Et souffle court
Lointain
La bise du matin
Homme vivant du dehors
Blancheur de la plaine
Et givre dans les rues
(Térrog)
C’est de beaucoup décrit
Qu’on parle de ces femmes
Qui s’accordant à Dieu
Nourrissent les fantasmes
En reprenant Diderot
Certaines payent pour un crime
Parole d’Evangile s’applique au précepteur
Mais du cloitre qui veille
Qui veille en sa demeure
Le lieu du spirituel accru par un vœu pieux
Et si pour Un Constant il y eut correction
Marchant dans ces passages ou le chant s’imagine
Vous entendrez peut-être un soir de veillée
Lumière des religieuses
Écho dans le Silence
(Térrog)
Il y eut d’un temps
Amour revienne
Il y eut d’amour
Un temps qui vienne
Ronde terre
Trente à vingt ans
Amour qui dure
D’un temps si vieux
Perdre on n’oit
Bien ces feints pleurs
Fonder amour ou refonder
Ainsi mener ou amener
Au temps si vieux
Un train d’amour
D’un baiser plus
Que d’art et dons
Térrog (Au temps si vieux)
Par une nuit joyeuse ou lugubre au mortel
Apparait la Péri, Sylphide merveilleuse
Diable quelle est la douleur de l ‘esprit immortel
Chassé du paradis et montant dans les cieux
Par l’entremise de dons
Sphinge
Énigme
Que dit la ville de Thèbes
Un ballet merveilleux, une danse d ‘Orient
Un Maitre et une esclave
Chaines que murmurent les Muses
Au parfum d’une fleur
Elle disent à l’enfant de ne pas s ‘ approcher sous peine de purgatoire
Parlent, à l’adolescent ,à l’homme du souffle de la jeune fille
Le reste n’est point écrit
Et si par un matin, vous,
De ce voyage,vous revenez enfin
Vous êtes bien vivant
Le rêve a de belles larmes